Marie Ma Nouvelle Voisine - 20 Matinée Du Dimanche (Suite)
Cello - Pendant que tu t'habilles, Hervé nous sert un second café, puis tu reviens dans une mini robe noire très moulante, qui te couvre à peine le haut des cuisses et le bas des fesses, hyper décolletée, et parcourue d'entailles ovales sur les cotés, ne permettant pas le port de dessous.
Marie - Je n'hésite pas un seul instant et m'installe près de vous, les cuisses écartées, appelant ainsi les regards de mon mari et de votre ami sur ma chatte imberbe, mais aussi et surtout vos caresses, espérant que vous allez me doigtez en attendant nos jeunes voisins.
Hervé pour rompre le silence me demande :
« Dis donc chérie, quand est ce que tu t'es rasée le sexe ?
« Heu... Mardi il me semble... Oui c'est cela Mardi matin, j'avais envie de sentir ma peau de bébé, lorsque je me caresse ».
Hervé : « Mais enfin, tu sais bien que j'aimais bien tes poils et que je n'aime pas trop que tu sois lisse ».
Cello - « Tu as tort, mon cher Hervé, Marie est plus séduisante ainsi, et puis c'est beaucoup plus doux à caresser et lorsqu'on lèche, au moins on ne risque pas d'avoir un poil sur la langue ».
Hervé contredit une nouvelle fois et sans argument, se tait alors que j'ai posé ma main sur ton entre-cuisses et te caresse, prouvant ainsi à Hervé que j'aime beaucoup le contact de la peau lisse de ta chatte. Puis je glisse un et deux doigts entre tes lèvres et commence à te doigter quand on sonne à la porte.
Laurent supposant que ce sont les jeunes qui arrivent, se lève pour aller accueillir ses invités.
Ils fait entrer les quatre jeunes et fait les présentations :
« Charles, Alban, Arthur et Nicolas je vous présente Marie, Hervé son mari, Cello l'amant de Marie et je suis Laurent son médecin personnel. »
Cello - Les invités ne quittent pas du regard Marie, il faut dire que Marie a gardé ses cuisses ouvertes et que je continue à la doigter.
Laurent leur explique que Marie va les sucer, qu'ils ne doivent pas décharger dans sa bouche, mais dans un verre et qu'ensuite, elle mélangera leurs semences, avant de boire le verre devant eux. Il ajoute qu'ils peuvent insulter, caresser, et doigter Marie et que s'ils se comportent convenablement, c'est à dire en respectant les règles fixées, ils pourront revenir régulièrement faire don de leur sperme pour la nourrir.
Marie - Ils n'arrêtent pas de me reluquer, je sens leurs regards et leurs envies de sauter sur moi, puis je constate qu'ils ont chacun une grosse bosse dans leur pantalon.
Cello : « Si il y a un ou des puceaux dans la bande, je propose qu'il passe en premier ».
Ils se regardent et Arthur, plutôt de forte corpulence, pour ne pas dire gros, s'avance en premier, honteux de reconnaître qu'il est vierge. Il doit avoir à peine 18 ans.
Marie lui tend la main et lui dit :
« Approche, je ne vais pas te manger, juste te sucer »
Cello - Et elle dégrafe le pantalon d'Arthur. Elle lui baisse son pantalon et jugeant que son service trois pièces est de bonne proportion, elle ajoute en regardant Hervé :
Marie : « Tu as vu Chéri, il en a une plus grosse que toi et ses boules, elles ont l'air bien pleines et lourdes ».
De la main droite, je saisis son sexe et lèche son gland et le décalotte avant de le prendre en bouche, pendant que je masse ses couilles de la main gauche. Après une dizaine d'aller et retour dans ma bouche, il se retire et prend le verre pour décharger une grosse quantité de sperme. Je le reprends une nouvelle fois en bouche pour lui nettoyer la bite et dit :
« Merci Arthur, c'était parfait et quand tu auras l'habitude tu seras plus résistant et maintenant à qui le tour ? »
Cello - C'est au tour d'Alban de s'avancer vers Marie.
Marie procède de la même façon qu'avec son ami, sa bite est moins longue mais plus large et de belles boules bien pleines. Il ne résiste pas plus longtemps que son ami aux prouesses buccales de Marie et il a tout juste le temps de se retirer et de prendre le verre qu'il lâche sa purée moins épaisse que la première.
Marie le remercie pour son don et dit : « Qui vient se faire sucer maintenant ? »
Cello - Charles s'avance vers Marie. Plus grand et maigre que ses amis, il semble assez négliger et effectivement lorsque Marie le désape elle sent une forte odeur de crasse et d'urine. Apparemment, il n'a pas pris de douche ce matin. Charles a beaucoup de charme et Marie ne voulant pas le mettre mal à l'aise, ne laisse rien paraître et le suce, le lèche et lui nettoie la bite après qu'il est déchargé dans le verre.
Puis c'est au tour de Nicolas, le plus charmeur des quatre et probablement le plus jeune. Il doit être tout juste majeur et alors qu'il s'avance vers Marie, elle lui demande :
« Tu t'es déjà fait dégorgé le poireau souvent? »
Nicolas : « Heu... Non madame... Deux ou trois fois »
Marie fait comme aux trois autres et alors qu'elle le suce, il demande :
« Je peux vous caresser les seins ? »
Marie accepte bien sûr, trop contente que celui-ci sintéresse à ses mamelles et lorsqu'il décharge dans le verre, une quantité inférieure à ses acolytes, elle le remercie de lui avoir bien tripoté les nichons.
Marie Je prend alors le verre rempli des quatre semences, les mélanges avec une petite cuillère et portant le récipient à mes lèvres, je bois d'un trait le sperme des jeunes, le gardant bien en bouche pendant quelques instants avant de déglutir la dernière gorgée.
« Oh ! C'est encore meilleur avec quatre sperme, qu'avec trois, j'espère que demain votre camarade, qui n'a pu venir aujourd'hui, sera la aussi ».
Cello - Les garçons étonnés de ta remarque, ont alors la certitude que tu es une vrai salope, s'ils avaient encore un doute.
Je remercie les quatre garçons et leur dit :
« Si vous êtes intéressé, je vous donne rendez-vous demain à 10 heures, mais à coté au numéro 8, Marie vous attendra avec impatience.
Les garçons sont à peine sortis que tu viens vers moi et me demande :
« S'il vous plaît monsieur Cello baiser moi, ces jeunes m'ont trop excitée ».
Je te regarde en souriant et réponds :
« Mais qu'est ce que tu fais encore habillée, retire ta robe et va sur le canapé si tu veux que je te bourre la chatte ».
Marie Vous avez à peine fini votre phrase que j'ai déjà retiré ma robe et je me place à quatre pattes sur le canapé, les cuisses ouvertes. Je m'approche de toi et dis :
« Hervé et Laurent, vous vous ferez sucer pendant que je baise cette salope! »
Je m'agenouille derrière toi et sans autre préambule, je pénètre ta chatte trempée en te prenant par les hanches. Tes seins tressautent à chaque coup de rein et c'est Laurent qui se présente en premier la bite à la main, devant ta bouche.
Marie : Oui vous pénétrez sans ménagement ma chatte brûlante et toute humide, je gémis très fort, car je suis très excitée et quand Laurent me présente son sexe, je lui bouffe comme une affamée de bite pendant que je branle mon cocu de mari. Puis je vous dit :
« Oh ! Monsieur Cello, mettez la moi dans le cul, jai envie que vous me défonciez le cul
Cello : « Oui ma salope ! Je vais te défoncer le cul, mais patience et suce, tu n'es bonne qu'à cela, te prendre des bites, sac à foutre ».
Te donnant une grande claque sur le derrière, je continue à te bourrer la chatte de plus en plus rapidement, tout en claquant les fesses et c'est lorsque tu jouis que je me retire et t'encule. Je rentre dans ton illet sans résistance, tellement tu es lubrifiée par ta mouille qui coule de ta chatte.
Marie - Oui, Alors que je suce Laurent et branle Hervé, vous changez de trou et vous m'enculez d'un seul coup de rein, me pénétrant jusqu'à la garde. Je sens vos couilles tapées sur mes fesses à chaque coup de rein. Laurent a saisi une de mes mamelles et la malaxe et la triture durement, imiter en cela par Hervé. Puis, ils saisissent mes tétons entre leurs pouces et index et tirent fortement dessus.
J'ai les seins douloureux, mais le plaisir que vous me donnez est supérieur à la douleur, mais vous recommencez à me fesser, et ce, de plus en plus fort, faisant rougir rapidement mon postérieur et ce n'est que lorsqu'il devient écarlate que vous cessez de me frapper et me reprenez mes hanches pour vous soulagez dans mes entrailles.
C'est Laurent qui décharge le premier en se retirant de ma bouche pour m'asperger les pis, Il est imité quelques secondes plus tard par Hervé et tous les deux massent mes nichons pour bien imprégner ma poitrine de leur crème. Les salauds, ils ne ménagent pas mes seins, les malaxant durement, les tordant, étirant mes tétines pour finir par gifler à toute volée mes nichons qui bougent dans tous les sens.
Cello Quand je vois comment ils malmènent tes pis, cela m'excite encore plus et je décharge dans ton fion. Je me retire en te donnant une grosse claque sur chaque fesse et te dis :
« Allez ma pute ! Viens me nettoyez la bite avec ta langue, j'espère pour toi que tu avais le cul propre, sinon tant pis pour toi ».
Marie Je ne me préoccupe pas de votre dernière réflexion, et je passe ma langue sur votre gland pour récolter les dernières gouttes de sperme avant de vous prendre en bouche pour bien décrasser votre bite. Puis je vais à la salle de bain prendre une douche sachant que vous allez me conduire à la pharmacie pour acheter le matériel prescrit par Laurent.
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